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Faune des Albertans

L'hermine :

Espèce protégée, à surveiller.

Elle est souvent présente à proximité des habitations rurales, notamment des chalets et des cabanes d'altitude qui constituent des refuges hivernaux relativement réguliers.

Souvent confondue avec la belette, l'hermine s'en distingue donc par sa taille supérieure, par son poids supérieur de trois fois, par sa queue dont le tiers terminal reste noir toute l'année, par l'absence de tache foncée dans la partie claire de la joue, ainsi que par la ligne de démarcation entre le dos et le ventre : rectiligne chez l'hermine ; sinueuse chez la belette. Elle est strictement protégée en France.. Lire la suite


Le triton alpestre :

Espèce protégée considérée comme vulnérable.

Le Triton alpestre est protégé en France par l'arrêté du 22 juillet 1993 (article 1) et par la convention de Berne (annexe III). L'espèce est considérée comme vulnérable en France et en région Rhône-Alpes. Les lâchers de poissons dans les lacs d'altitude lui sont défavorable. Il est interdit de les déplacer ou de les conserver chez soi. Lire la suite


L'aigle royal

Espèce protégée considérée comme vulnérable.

De catégorie faunistique holarctique, l’Aigle royal est répandu dans tout l’hémisphère nord. La population européenne est estimée à 5 000-6 000 couples (Watson 1997), celle de France continentale à un peu plus de 300 couples territoriaux ; en Corse, la population est estimée à une trentaine de couples (Torre 1996).

Considérée comme une espèce migratrice se trouvant dans un état de conservation défavorable et nécessitant l’adoption de mesures de conservation et de gestion appropriées dans certaines régions d’Europe, l’Aigle royal figure à l’annexe II de la Convention de Bonn du 23 juin 1979 qui lui accorde un statut de protection à l'échelle mondiale. Lire la suite


Gélinotte des bois :

Espèce protégée considérée comme vulnérable.

Petit tétraonidé très discret des forêts de montagnes, la gélinotte des bois évolue souvent en syntopie avec le grand tétras dans le Jura. Elle occupe cependant des stades d'évolution de la forêt différents.

L'espèce est classée en catégorie B1 par Bollmann et al. (2001) : espèce menacée en Suisse, avec des effectifs importants en comparaison internationale. Liste Rouge Française
Liste Rouge Suisse (Keller, et al. 2001): VU (menacé) La gélinotte est strictement protégée, selon la Convention de Berne (annexe 3). Lire la suite


La salamandre :

Espèce protégée, en voie de disparition.

Salamandre Altra Au moyen âge, les gens effrayés de voir cet animal noir et jaune sortir de leur cheminée pensaient que c’était le feu qui l’avait fait naître. En réalité, comme elle se cache dans trous de troncs d’arbres morts, on voyait parfois une salamandre sortir de sa cachette quand on mettait le bois dans la cheminée. On racontait aussi qu’elles pouvaient traverser un feu sans se brûler et même l’éteindre.

L’espèce est protégée et vulnérable sur le plan national. Bien que protégée, elle est en voie de disparition. Lire la suite


Le crapaud commun :

Espèce protégée, à surveiller.

Très sensibles à l’altération de son habitat « mosaïque », le Crapaud commun est une espèce parapluie : sa présence est signe d’un habitat fonctionnel, pouvant habriter nombre d’espèces protégées comme la Grenouille rousse ou le Triton alpestre. Comme la majorité des amphibiens, il est strictement protégé en France.. Lire la suite


Le chevreuil :

Espèce dont la chasse est autorisée.

Le chevreuil est fréquement observé dans la vallé. Ses traces sont particulièrement présentes.

Le chevreuil est un animal à la fois craintif et curieux. On le rencontre de préférence au lever et au couché du soleil, le plus souvent en lisière de forêt. Il n'est pas rare cependant de le voir en pleine journée en bordure d'autoroute ou au beau milieu d'un champs. Son comportement change parfois à certaines période de l'année, notamment pendant le rut et pendant la période de chasse. Lire la suite


Le sanglier :

Espèce dont la chasse est autorisée.

Si les agriculteurs ont de bonnes raisons de se plaindre des sangliers, il faut souligner que son régime alimentaire est bénéfique pour l’écologie des forêts.

Il aère la terre en extirpant bulbes et racines, et favorise de nouvelles pousses par l’enfouissage de graines et des fruits au hasard de ses repas.

De même, certains conifères sont fortement parasités par des insectes xylophages. C’est le cas des chenilles processionnaires qui peuvent ravager une forêt entière.

On a calculé qu’un seul sanglier peut nettoyer de ses parasites 100 m² de sol par jour. Enfin, les sangliers régulent les populations de rongeurs.Lire la suite